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 Les Mangas

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miss-sakura77
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miss-sakura77


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MessageSujet: Les Mangas   Les Mangas Icon_minitimeMer 14 Jan - 21:34

Les Mangas Naruto02cf0

Pour + d'infos c'est sur Wikipédia qu'il faut aller^^


Manga (漫画 ou まんが) désigne en japonais les bandes dessinées en général. En français, ce terme désigne les bandes dessinées japonaises, et par extension, les bandes dessinées non-japonaises respectant les codes des productions populaires japonaises. Le mot manga est souvent utilisé de façon impropre pour nommer d'autres produits visuels rappelant ces bandes dessinées (dessins animés, style graphique…).

Les mangas en France (P.S. : Merci à Dorothée d'avoir ramenner les mangas en France^^)

Suite au succès du film, Glénat décide de publier Akira, de Katsuhiro Otomo, en fascicules, à partir de mars 1990. Bien que la série n'ait pas de dessin animé pour la porter, le renouvellement massif des codes de la bande dessinée qu'introduit cette œuvre permet au succès d'être cette fois au rendez-vous, et l'édition cartonnée en couleur voit le jour dès la fin de l'année. Mangazone en profite pour devenir un prozine, tiré à 700 exemplaires[15]. La qualité de la revue fait des émules : en 1990 naissent les fanzines Yamato et Protoculture addict. En décembre 1990, le premier volume de Gen d'Hiroshima fait l'objet d'une nouvelle édition chez Albin Michel, sous le titre erroné de Mourir pour le Japon. En 1991, alors que la suite d'Akira est publiée, Rêves d'enfants, autre série d'Otomo, est éditée en 1991 par Les Humanoïdes associés. À la fin de l'année, un premier tome de City Hunter est publié. Cependant, seul Akira trouve alors son public. En mai naît Animeland, fanzine luxueux qui remplace progressivement Mangazone comme référence francophone.
Alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour protester contre les dessins animés japonais, toujours plus présents dans les programmes jeunesse, Glénat, une fois Akira achevé, décide de tenter de nouvelles traductions, en publiant les bandes dessinées d'origine de dessins animés à succès : Dragon Ball d'Akira Toriyama à partir de février 1993, Ranma ½ de Rumiko Takahashi en février 1994. La réussite de l'entreprise permet à Glénat de traduire d'autres bandes dessinées, parfois liées à un dessin animé, parfois non : Appleseed de Masamune Shirow à partir juin 1994, puis Orion du même auteur en septembre, Crying Freeman de Ryōichi Ikegami en janvier 1995, Dr Slump de Toriyama en février, Gunnm de Yukito Kishiro à partir de mars, Sailor Moon de Naoko Takeuchi en novembre.
D'autres éditeurs traditionnels commencent à s'intéresser au manga. Casterman publie d'abord dans sa collection « Manga », créée en janvier 1995 deux bandes dessinées créées aux Japon par des auteurs français (Kiro d'Alex Varenne puis en septembre Au Nom de la famille de Jérôme Charyn et Joe Staton) avant de traduire coup sur coup en septembre Gon de Masashi Tanaka, L'Habitant de l'infini d'Hiroaki Samura, et L'Homme qui marche de Jiro Taniguchi, premier manga d'auteur publié en France. « Casterman manga » accueille de nouveaux titres de qualité jusqu'en 1999, avant d'être remplacée par des collections plus spécialisées par la suite. Dark Horse France publie Outlanders de Johji Manabe de janvier 1995 à janvier 1996. Dargaud se lance également en créant la collection Kana avec Angel Dick puis Armagedon de la coréenne Hyun Se Lee[16].
Des éditeurs spécialisés naissent également : Samouraï Éditions, qui publie des bandes dessinées érotiques à partir de 1994 (Ogenki Clinic d'Inui Haruka) puis des mangas plus traditionnels l'année suivante (Vampire Miyu de Kakino Uchimaruri et Hirano Toshihiro), l'éphémère Star Comics en janvier 1995 avec Takeru de Buichi Terasawa, Kraken en avril (avant de disparaître l'année suivante) avec l'ambitieux Shang Hai Kaijinzoku de Takuhito Kusanagi puis Les Élémentalistes de Tasheshi Okazaki ou encore Vaelber Saga de Nobuteru Yūki. Tonkam, qui se lance en juin 1995 avec RG veda de CLAMP devient le premier grand éditeur français spécialisé dans le manga. C'est également le premier à les publier dans le sens de lecture japonais, à la fois pour des raisons de coût et d'intégrité de l'œuvre, disposition qui devient rapidement la norme, sauf dans quelques cas particuliers (comme la collection « Écritures » de Casterman).

La vague est lancée : Animeland devient en 1996 avec son vingt-deuxième numéro le premier magazine consacré à l'animation et à la bande dessinée japonaises diffusé en kiosque, de plus en plus d'éditeurs se joignent aux précurseurs, tandis que d'autres séries à grand succès sont traduites : de 2 en 1994, ce sont plus d'une quarantaine de séries différentes qui sont publiées ou lancées en 1996 (pour 105 albums, par Tonkam, Glénat et J'ai lu principalement), parmi lesquelles City Hunter, cette fois porté par Nicky Larson, Fly de Koji Inada, Riku Sanjo et Yuji Horii, Ghost in the Shell de Shirow, Amer Béton de Taiyo Matsumoto, Bastard !! de Kazushi Hagiwara, Le Roi Léo, Astroboy et Blackjack d'Osamu Tezuka. En 1997 apparaissent Detective Conan de Gosho Aoyama, 3×3 Eyes de Yūzō Takada, Sanctuary de Ryōichi Ikegami et Sho Fumimura, Ah! My Goddess de Kōsuke Fujishima, en 1998 Neon Genesis Evangelion de Yoshiyuki Sadamoto, Cat's Eye de Tsukasa Hojo, Kenshin le vagabond de Nobuhiro Watsuki, Yu-Gi-Oh! de Kazuki Takahashi ainsi que les premières réalisations de Naoki Urasawa, en 1999 Ken le survivant de Tetsuo Hara et Buronson, Captain Tsubasa de Yôichi Takahashi, Cardcaptor Sakura de CLAMP, Slam Dunk de Takehiko Inoue.
Le marché continue à croître à rythme soutenu : 151 albums en 1998, 200 en 1999[17], 227 en 2000, 269 en 2001[18]. À partir de 1999, Kana s'affirme comme le quatrième grand acteur du secteur. Cependant, alors qu'à cette date les principales séries japonaises à succès des années 1980 et 1990 sont traduites, et qu'elles atteignent parfois d'enviables chiffres de vente (au début du millénaire 120 000 exemplaires par volume de Dragon Ball[17], environ 20 000 pour les séries les plus populaires[18]), que les magazines dédiés vont commencer à se multiplier, que les rencontres d'amateurs ont de plus en plus de succès, qu'internet va favoriser le développement des mangas, le monde de la bande dessinée tel que le laisse percevoir le Festival d'Angoulême laisse peu de place à cette émergence, et les éditeurs alternatifs lui restent globalement indifférent, laissant inconnu au public le large patrimoine de bande dessinée d'auteur japonaise, hormis Taniguchi. Des séries plus récentes sont alors traduites, et remportent également un grand succès : en 2000 Hunter × Hunter de Yoshihiro Togashi, Shaman King de Hiroyuki Takei, One Piece d'Eiichirō Oda, en 2001 GTO de Tōru Fujisawa , I¨s de Masakazu Katsura, Samurai deeper Kyo d'Akimine Kamijyō, Angel sanctuary de Kaori Yuki, Monster de Naoki Urasawa, en 2002 Love Hina de Ken Akamatsu, Gunnm Last Order de Kishiro, Fruits Basket de Natsuki Takaya, Naruto de Masashi Kishimoto.

À partir de 2002, la hausse de la part des bandes dessinées asiatiques dans le marché des nouveautés s'accèlère, à la fois absolument (377 en 2002, 521 en 2003[19], 754 dont 614 mangas en 2004[20]) et relativement (25 % en 2002, 30 % en 2003[19], 36 % en 2004, 42 % en 2005[20], 44 % en 2006, environ 42 % en 2007[21]). Les mangas restent les bandes dessinées asiatiques les plus vendues (les vingt plus gros tirages sont japonais en 2005), leur coût plus faible et leur périodicité plus régulière que celle des bandes dessinées occidentales leur permet de toucher un public fidélisé, d'autant que les éditeurs peuvent sélectionner les bandes dessinées qui ont déjà passé l'épreuve du public au Japon. Tous créent des collections dédiées, voire tentent de lancer des mangas à la française. En 2003, le tirage des quinze plus grandes séries oscille entre 25 000 et 60 000 (Yu-gi-oh, et Naruto en 2004) exemplaires[19], en 2007 Naruto est imprimé à 220 000 exemplaires, Death Note à 137 000, et le fonds reste attractif (avec Dragon Ball surtout). En valeur, le marché est détenu à 80 % par Pika, Kana et Glénat[20]. En 2003, pour la première fois, un manga obtient un prix au festival d'Angoulême : Quartier lointain, de Taniguchi, pour le prix du scénario. C'est un début de reconnaissance.
Le fait qu'en 2005, plus de mangas que d'albums traditionnels aient été édités a fait écrire à Gilles Ratier que 2005 avait été en France « l'année de la mangalisation[20] », sans qu'il s'en offusque, contrairement à d'autres acteurs du secteur. 1 142 bandes dessinées asiatiques (soit 42 % des nouveautés) sont en effet éditées en 2005 dont 937 mangas[20], et 1 418 en 2006 (soit 44 % des nouveautés), dont 1 110 mangas[22]. Les tirages à la nouveauté des bandes dessinées japonaises les plus populaires n'ont plus rien à envier à ceux des bandes dessinées traditionnelles populaires : 130 000 exemplaires pour Naruto, 80 000 pour Samurai deeper Kyo ou Fullmetal alchemist (d'Hiromu Arakawa, traduit à partir de 2005), 70 000 pour Gunnm last order, Hunter × Hunter, Yu-gi-oh, Fruits Basket et Shaman King, 65 000 pour Neko Majin de Toriyama, 60 000 pour Air Gear (d'Ōgure Ito, traduit à partir de 2006) et One Piece d'Eiichirō Oda[22]. Début 2006, la France est, avec plus de 13 millions d'exemplaires annuels, le plus gros « consommateur » de manga au monde après le Japon et devant les États-Unis[23]. Les manga représentent 45 % du chiffre d'affaires de la bande dessinée et constituent la plus forte progression derrière la fiction jeunesse, se plaçant en deuxième position des secteurs de l'édition les plus dynamiques.
Parallèlement à ce succès populaire, les maisons d'éditions commencent à développer l'édition patrimoniale[24] : Vertige Graphic réédite Gen d'Hiroshima et publie Yoshihiro Tatsumi, un des pères du Gekiga à partir de 2003, Ego comme X traduit L'Homme sans talent de Yoshiharu Tsuge en 2004, Cornélius publie Shigeru Mizuki depuis 2006, avec succès puisque NonNonBâ obtient le Prix du meilleur album à Angoulême en 2007, respectabilité qui avalise la forte pénétration de la bande dessinée japonaise sur le marché français. La bandes dessinées d'auteur pour adultes, représentée d'abord par Jirō Taniguchi et Naoki Urasawa, se développe à partir de 2002, tandis que les jeunes auteurs les plus novateurs le sont, hormis Taiyō Matsumoto publié dès 1996, à partir de 2005[25]. L'intérêt pour le manga pousse des éditeurs à s'intéresser également aux bandes dessinées coréenne et chinoise.

Genres de mangas

Les revues de manga sont généralement destinées à une catégorie d'âge précise :

- Kodomo (子供) : pour les jeunes enfants ;
- Shōjo (少女) : destinés aux jeunes filles adolescentes ;
- Magical girl (魔法少女) : Sous-genre du shōjo, désigne les mangas mettant en scène des jeunes filles utilisant des pouvoirs surnaturels pour combattre le Mal ;
- Romance : Sous-genre du shōjo, manga sentimental mettant en scène une jeune fille amoureuse d'un prince charmant, généralement des drames romantiques ;
- Shōnen (少年) : pour les jeunes garçons adolescents;
- Nekketsu : Sous-genre du shōnen, le terme signifiant sang brûlant désigne les shōnen manga mettant en scène des héros exaltés défendant des valeurs viriles traditionnelles telles que le courage, l'amitié et le dépassement de soi ;
- Pantsu : Sous-genre du shōnen, le terme anglais pants (culotte) prononcé à la japonaise désigne les shōnen manga mettant en scène un héros généralement pervers au milieu d'un univers féminin dans le cadre d'une comédie romantique ;
- Josei (女性) pour les jeunes femmes et adultes ;
- Shōjo-ai (少女愛) : Sous-genre du josei et du redisu, romance sentimentale entre femmes ;
- Shōnen-ai (少年愛) : Sous-genre du josei et du redisu, romance sentimentale entre hommes ;
- Yaoi (やおい) : Sous-genre du josei et du redisu, romance sexuelle entre hommes. les mangas érotique et pornographique ne sont pas distingué lorsqu'on parle de yaoi.
- Seinen (青年) : destinés aux jeunes hommes et adultes ;
- Ecchi (H ou エッチ) : Sous-genre du seinen et du seijin, manga érotique[26] mais non pornographique ;
- Yuri (百合) : Sous-genre du seinen et du seijin, romance sexuelle entre femmes. les mangas érotiques et pornographiques ne sont pas distingués lorsqu'on parle de yuri.
- Redisu (レディース, Lady's) : pour les femmes adultes.
- Seijin (成人) : pour les hommes adultes.

Dans les pays francophones, seules cinq catégories sont couramment publiées : Shōjo, Shōnen, Seinen, Shitei et Hentai.

Produits dérivés

Souvent, les séries à succès sont adaptées en anime. Mais parfois, ce sont les anime qui sont utilisés pour créer des bandes dessinées, soit simplement inspirées de la version animée (comme c'est le cas pour Evangelion), soit directement copiées à partir des images animées. Pour cela, on met en page des images extraites de l'œuvre souhaitée, sur lesquelles on ajoute du dialogue. Ces bandes dessinées particulières sont alors appelées animekomikkusu (Anime comics).
De nombreux mangas ont aussi été adaptés en drama (série télévisée), dont certains sont très populaires comme Hana yori dango.
Associés aux manga, on trouve les artbooks, recueils d'illustrations en couleur et d'images originales, incluant parfois des histoires courtes. De même, du fait de la popularité grandissante des manga, les produits dérivés sont de plus en plus nombreux : figurines, cahiers, calendriers, porte-clés, peluches, habits, costumes, accessoires, etc. La naissance de ces produits dérivés est généralement attribué à Takamizawa Nakataro, en 1931, pour sa série Norakuro.
On trouve également des jeux de rôle développant un riche univers post-apocalyptiques ou fantasy tels que Mekton Z, Anima et Manga BoyZ.
En France, de nombreux festivals appelés conventions ont fait leur apparition ces dernières années. Ces conventions sont des points de rassemblement pour les fans de manga ou de culture japonaise moderne en général, proposant des projections, des jeux, des spectacles de cosplay et souvent complétées par un espace où se côtoient professionnels (magasins de livres et autres produits) et amateurs (clubs et associations exposant leurs propres œuvres).
On compte parmi les conventions les plus connues: Cartoonist, Epitanime, Japan Expo, G.A.M.E. in Paris (France), Tokyo Zone (France), Polymanga (Suisse)...
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Konochy
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MessageSujet: Re: Les Mangas   Les Mangas Icon_minitimeMer 14 Jan - 21:49

Yaaaahh !! Vive la france ! 2e Pays du Manga Very Happy
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